Blog d'Annie AIT-HAMOU, Professeur de Gestion Administration au lycée des Métiers LA VISTE
samedi 21 mai 2011
Facebook : attention au faux bouton "J'aime pas" !!!
Ne cliquez pas sans réfléchir ... et surtout, n'autorisez pas des applications à accéder à vos informations personnelles !
mardi 10 mai 2011
Le classement alphabétique
Mieux classer permet de gagner du temps... Et en entreprise, le temps, c'est de l'argent...
http://www.super-comptable.com/magazine/efficacite-pro/organisation/cid1666-ameliorez-votre-classement-alphabetique.html
Le lien ci-dessus vous donnera quelques règles simples pour mieux vous organiser
http://www.super-comptable.com/magazine/efficacite-pro/organisation/cid1666-ameliorez-votre-classement-alphabetique.html
Le lien ci-dessus vous donnera quelques règles simples pour mieux vous organiser
lundi 9 mai 2011
Réviser l'anglais facilement
Apprendre à prononcer des mots ou à construire des phrases en anglais. Difficile ? Non ! Cliquez sur le lien ci-dessous et vous verrez que l'anglais est finalement plus facile que ce que vous croyez...
http://www.blogger.com/home?pli=1
http://www.blogger.com/home?pli=1
dimanche 8 mai 2011
L'application "Qui regarde mon profil Facebook " est un virus...
Les pirates informatiques profitent du manque de connaissances et surtout de la curiosité des membres pour diffuser des messages indésirables, ceux-ci peu méfiants des menaces qui existent sur les réseaux sociaux tombent dans le piège et partage le lien infecté vers leurs "amis".
Attention au piège !!! Au lieu de voir apparaitre vos soit-disant amis, vous allez installer à votre insu un logiciel malveillant.
Dès que l'application virale est installée, le code malveillant utilise votre profil pour envoyer à vos "amis" sous la forme d'un spam d'autres invitations aux membres de votre réseau qui la reçoivent par message privé ou via le Tchat. L'effet boule de neige s'enclenche, avec 130 "amis" en moyenne, cette infection virale se propage rapidement sur les murs des personnes ciblées
Un malware spamme Facebook grâce à la fonction "J'aime"
Alerte Virale
Une forme de pages est actuellement en pleine explosion sur Facebook, celles qui proposent de découvrir une photo insolite, à condition d'"aimer" la page sur laquelle elle se trouve .
Les groupes qui proposent de tels contenus ont généralement des noms qui aguichent la curiosité des utilisateurs, et les poussent d'autant plus à cliquer sur des liens pas toujours clairement identifiables.
Si certains se contentent d'envoyer les internautes sur des publicités, d'autres ont trouvé une nouvelle façon de tirer profit de cette mode, en s'en servant pour propager un ver sur le réseau social, via la technique du " clickjacking " (détournement de clic).
L'éditeur met en garde contre une page blanche, sur laquelle est écrit "Click here to continue".
Une fois cliqué, le ver spamme les profils de tous les amis du membre, affichant sur leur page qu'ils aiment eux aussi le groupe vérolé.
En somme, le malware n'a aucun autre but que celui de se propager en spammant massivement les pages des utilisateurs du réseau social, un développement que l'on peut imaginer sans fin dans la mesure où la technique attise la curiosité des utilisateurs, qui ne sont pas toujours informés des dangers du clickjacking .
Sophos, qui cite quelques-unes des pages anglophones hébergeant le malware, recommande aux adeptes de Facebook de vérifier leur liste de groupes "aimés" et de supprimer les liens douteux, l'éditeur recommande également la plus grande prudence envers ce type de page, dans la mesure où Troj/Iframe-ET n'est pas le premier malware et sans doute pas le dernier à s'emparer du phénomène
samedi 30 avril 2011
La SNCF perd son procès face à un voyageur… ponctuel
L’entreprise ferroviaire a été condamnée en dernier ressort le 12 avril par un juge de proximité parisien à dédommager un voyageur.
Le 21 juillet 2009 Me Jérôme Bertrand doit se rendre à Bourg-en-Bresse, dans l’Ain, pour des raisons professionnelles. Son train part à 11h10 à la gare de Lyon. Il arrive selon son récit à 11h09 sur le quai. Mais c’est trop tard : les portes du train sont déjà closes, il ne peut donc monter. La TGV démarre sous ses yeux. Contraint de reporter son voyage, ce client très régulier réserve une place dans un autre train deux jours plus tard.
Convaincu d’être dans son bon droit, il écrit un courrier à la SNCF pour obtenir le remboursement du second billet. Devant le refus de l’entreprise, il décide de porter l’affaire en justice. Elle vient de lui donner raison sur un détail.
Les « tarifs voyageurs » de la SNCF, un document validé par le ministère des Transports qui fixe les règles d’accès aux trains, précise « qu’il est demandé à l’ensemble des voyageurs TGV d’accéder au plus tard deux minutes avant l’heure de départ ». Or, le juge de proximité estime que « le terme demandé ne sous-entend aucune règle impérative, aucune sanction ou interdiction d’accès au train, mais un vœu de la SNCF. […] Aucune des pièces contractuelles ne contient mention de l’interdiction d’accès au train passé deux minutes avant le départ du TGV. En conséquence, la SNCF a manqué à son devoir d’information et engagé sa responsabilité sur les conséquences du refus litigieux ».
L’entreprise doit lui verser 129,30 € au titre du remboursement des frais supplémentaires liés à l’achat d’un second billet, mais aussi 1 € de dommages et intérêts pour la gêne occasionnée
Familistère de Guise (Une fête pour honorer un patron) !
Dans la première moitié du 19e siècle, la révolution industrielle attire une population nombreuse dans des villes où rien n'est prévu pour l'accueillir.
Les premières habitations ouvrières sont construites sur le modèle de la maison individuelle.
Les industriels, même les plus éclairés, redoutent l'habitat collectif : rassembler la masse des ouvriers dans des logements communs reviendrait à créer des foyers insurrectionnels en ces temps d'agitation révolutionnaire.
Le familistère de Guise fait fi de ces réticences : un seul bâtiment de 450 mètres de développement, élevé d'un rez-de-chaussée, de trois étages et de combles accessibles par seize escaliers collectifs qui desservent des appartements destinés à loger 1 500 personnes - l'équivalent de 300 maisons individuelles.
A lire et à découvrir !
mardi 26 avril 2011
La communication interne
Règle n° 1 : La chaîne classique qui mène à une situation de conflit commence par un malentendu, elle se développe en tension et finit par toutes les variantes plus ou moins dures de conflit.
Règle n° 2 : la meilleure façon de résoudre un conflit c’est de faire en sorte qu’il ne se produise pas.
Règle n° 3 : dans une entreprise, personne n’a avantage à laisser se développer une situation de conflit.
Si l’on accepte ces trois règles, la solution, très simple, est donc, en toute circonstance de repérer la situation de malentendu et de la traiter avant que le malentendu ne devienne tension, puis conflit.
Comment ? En mettant en place un concept de communication interne qui permettra l’expression des malentendus ou insatisfactions le plus tôt possible, et bien sûr de prendre toute mesure appropriée pour traiter et essayer de répondre positivement à ces insatisfactions.
Rôle de la DGCCRF
Petite histoire d'un succès commercial
Bill Gates a tout compris !!
Et oui ! Certains dirigeants français devraient y réfléchir : augmenter les salaires stimule l'embauche et motive les salariés... et éviter la fuite des cerveaux !!!
Tout savoir sur le DIF
Inscription à :
Articles (Atom)